14/11/2010
Slava
11:07 | Lien permanent | Commentaires (2)
18/10/2009
Farmville
Oui, hélas, je suis tombée dedans!
M'étant inscrite sur Facebook pour des raisons professionnelles, j'ai vu ma fille, qui elle, est inscrite depuis bien plus longtemps, jouer à ce jeu qui consiste à gérer une ferme, en faisant pousser des trucs et des machins et autres farmeries.
Ca m'a paru amusant et me voici donc, après Travian, prise dans les filets d'un jeu en ligne.
Bien différent du jeu de guerre où les relations humaines sont aussi, sinon plus importantes que le jeu lui même, Farmville est un jeu gentillet et tranquille. On n'a même pas besoin de s'occuper de sa ferme tous les jours. Il suffit de planter quelque chose qui met deux, trois voire quatre jours à pousser et on peut l'oublier tout ce temps là.
Je vous présente donc ma ferme, telle qu'elle est maintenant. Elle a, au fils des jours, pris divers aspects et il est probable que je changerais son "look" au grès de mes envies. Contrairement à une ferme réelle, on peut tout déplacer d'un clic, ce qui permet de réaménager complètement son chez soi en quelques minutes. Si ça pouvait être aussi facile dans la réalité!
Au centre les plantations. C'est ce qui rapporte des pièces et permet d'acquérir de l'expérience, donc de monter de niveaux. Et à chaque niveaux on peut acheter plus d'objets différents.
A droite le verger. Il y a 16 sortes d'arbres. On peut en acheter certains (dont une espèce est si chère que je n'en ais encore vu sur aucune ferme), mais pour les autres, il faut avoir des amis farmville qui vous les envoient.
Vers le devant et le fond, les animaux. Là aussi, on peut en acheter trois espèces (vache, mouton blanc, poule), mais tous les autres sont des cadeaux des amis. Et enfin, il y a l'animal solitaire qu'on trouve errant sur sa ferme et que les amis peuvent adopter. Dans cette catégorie, le mouton noir, la vache marron, qui donne du lait au chocolat et la vache rose qui donne du lait à la fraise. Et enfin le vilain petit canard qui se transforme en cygne au bout de trois jours. Le dernier que j'ai recueilli, je refuse de le transformer, il est beaucoup plus sympathique en vilain petit canard.
Et enfin à gauche le labyrinthe. L'idée m'en est venu lorsque de nouveaux objets de décoration sont apparu: les animaux en buis taillé. Il y avait déjà des haies et des arceaux fleuris. J'y mets les petits animaux pour le plaisir de voir mon personnage se déplacer dedans (par des chemins parfois assez particuliers) afin de recueillir leur production : oeufs pour les poules, laine angora pour les lapins et duvets pour les canards.
22:30 Publié dans Moi, ma vie, mais pas mon oeuvre | Lien permanent | Commentaires (11)
17/10/2009
Panoramique Vieux Port
Après une balade dans le quartier du Panier, je vous fais découvrir un panoramique du Vieux Port pris du côté de la Place aux Huiles, donc la vue sur la rive en face, celle de la Mairie.
Il faut cliquer sur la photo pour la voir en taille réelle et donc pleinement en profiter.
De gauche à droite :
-Le jardin et le Palais du Pharo : du jardin on a une des plus belles vues de Marseille sur le Port. Le Palais a été construit pour l'impératrice Eugénie, femme de Napoléon III, qui n'y a jamais mis les pieds.
-La tour du roy René : est devenue un lieu culturel et abrite notamment des expositions.
-Le fort Saint Jean : un des deux forts (avec le Fort Saint Nicolas sur la rive opposée de l'entrée du Port) construit par Louis XIV pour tenir en respect les marseillais, un peu trop remuants à son goût.
-L'église Saint Laurent : la première église érigée sur ce lieu (qui fut d'abord celui d'un temple païen) date du IX siècle.
-La cathédrale de la Major, construite au XIX siècle, elle a remplacée la vieille cathédrale dont il ne reste plus que le coeur. A l'époque des gens se sont battus pour qu'on ne détruise pas entièrement ce monument.
-Bateau Le Marseillois : bateau-restaurant, sert souvent comme lieu pour des réceptions.
-Clocher des Accoules : seul vestige d'une église détruite à la Révolution.
-Mairie : construction du XVII siècle, le buste de Louis XIV et le drapeau républicain s'y côtoient.
-Hôtel Dieu : ancien hôpital, il va être transformé en hôtel de luxe, ce qui a créé une forte polémique.
-Eglise Saint Férréol : date du XIV siècle et a été sauvée de la destruction à la Révolution parce qu'elle servit d'entrepôt.
-"Barres" du cours Belsunce : ou "tours Labourdette" du nom de l'architecte qui a osé cette monstruosité dans les années 60. Cet ensemble architectural est une verrue dans le coeur de Marseille. Il a ses détracteurs, qui souhaitent qu'elles soient démolies, mais aussi ses défenseurs.
-Le carrefour Canebière/Vieux Port : départ de la plus célèbre rue de Marseille qui finit dans le quartier du Chapitre à l'église des Réformés, 800 mètres plus haut.
13:23 Publié dans De tout et de rien | Lien permanent | Commentaires (0)
20/06/2009
Bruits
Dans une note précédente, j'ai parlé d'odeurs dérangeantes du voisinage.
Aujourd'hui, je vais parler de bruits. Pas forcément dérangeants d'ailleurs. Simplement de bruits qu'on entend quand on est chez soi et qui proviennent de toutes les personnes qui sont autour de nous.
A moins d'habiter à 20 kilomètres de son plus proche voisn, ce qui n'est pas mon cas, ces bruits prénètrent plus ou moins dans notre intimité. Certains sont pénibles, d'autres cocasses et d'autres encore mystérieux.
Dans la catégorie bruits pénibles les travaux tiennent une place de choix. D'autant plus qu'on ne peut pas vraiment s'en plaindre à partir du moment où les "travailleux" respectent des horaires décents.
C'est le cas de mes nouveaux voisins du dessus qui viennent d'acheter leur appartement et donc font des travaux dedans avant de l'habiter. Les horaires sont corrects, les bruits pas trop forts et ne durent pas trop longtemps dans la journée. Le seul problème c'est la durée. Ca fait maintenant au moins trois ou quatre mois qu'on a droit à la perceuse et autres intruments bruyants, au minimum tous les week-end et parfois en semaine aussi. Il m'arrive de vouloir récupérer de la fatigue de la semaine par une petite sieste le week-end. C'est en général le seul moment de la journée où ils jouent de la perceuse ou du marteau.
Dans la catégorie bruits cocasses j'ai droit plusieurs fois par jour, selon l'ouverture des fenètres je suppose, à une horloge à coucou. Franchement je pensais que ça n'existait plus ce genre d'engin. Il faut croire que si. Et je suis l'heureuse voisine d'un amateur d'horloge à coucou. Je ne sais pas la forme qu'a cet instrument, forcément, puisque je ne fais que l'entendre. Si c'est la traditionnelle petite maison avec le coucou qui sort pour jeter son cri aux heures, quart d'heure et demi heure ou bien si c'est une forme plus ordinaire et que seul le son a été récupéré. Mais ça me fait bien rire à chaque fois et je m'émerveille qu'on puisse apprécier encore quelque chose d'aussi "ringard".
Dans la catégorie bruits mystérieux, il y a d'abord eut une sorte de cri d'oiseau (piou-piou) que j'entendais parfois sans savoir ce que c'était. Puis j'ai fini par voir et enfin comprendre. C'est tout simplement le bruit du verrouillage/déverrouillage du scooter du voisin du premier étage.
Mais le bruit le plus mystérieux l'est d'autant plus que je ne saurais sûrement jamais d'où il vient et même s'il existe seulement. En effet ce bruit est à la limite de l'audible. Ca ressemble à ce bruit qu'on entendait dans les gares avant qu'une annonce soit faite. Sorte de ding ding dong. C'est à peine si je l'entends en fait, au point que je me demande s'il existe vraiment ou si c'est moi qui l'imagine. Il n'est pas régulier (toujours à la même heure) et je ne l'entends pas tous les jours. Quant il surgit, je tends l'oreille essayant toujours de deviner d'où il vient et ce qu'il est.
Enfin pour en terminer dans la catégorie des bruits subis, il y a deux soirs, j'ai eu droits aux hurlements de rire d'une femme pendant au moins trois heures. Un rire aigu, très fort, constant, insupportable. Trois heures de hurlements. Toute la résidence (qui est assez vaste) devait en profiter.
21:32 Publié dans Moi, ma vie, mais pas mon oeuvre | Lien permanent | Commentaires (8)
14/06/2009
Le jour des cigales
Ca y est, ce matin j'ai entendu les cigales pour la première fois de l'année. Ca fait plusieurs jours que je guette la stridulation familière de l'été et la voila. Elle va bercer mes journées pendant quelques semaines.
Par contre, je ne me souviens jamais du dernier jour où je les entends en automne. Tout à coup, je me rend compte que ce bruit, si banal que je n'y fait plus attention, n'est plus là. Mais je ne sais jamais si ça date du jour même ou ça fait plusieurs jours qu'elles se sont tu.
15:14 Publié dans De tout et de rien | Lien permanent | Commentaires (1)
30/05/2009
Au boulot comme chez soi
Ca fait deux semaines que j'ai repris un travail après plus d'un an de chômage, un vrai chômage je veux dire, oùsqu'on va pas travailler du tout. Parce que je suis inscrite parmi les "demandeurs d'emploi" depuis janvier 2006, mais jusqu'à la fin du mois de mars 2008 j'avais un temps partiel, donc je n'avais pas totalement coupé les ponts avec les joies et les contraintes du travailleur de base.
Là aussi le travail est à temps partiel et il ne dure que 6 mois. Mais après plus d'un an de "rester à la maison", il faut reprendre un rythme différent.
Contrairement à mon boulot précédent qui était très fatiguant physiquement, celui ci ne l'est pas. Je travaille sur ordi, donc assise et ce n'est pas épuisant, du moins pour le corps. Par contre, l'espace est petit, nous sommes les uns sur les autres et il n'est parfois pas évident de se concentrer sur son travail selon le bruit que font vos collègues. J'ai, de manière générale, une assez bonne capacité de concentration et j'arrive plutôt facilement à oublier ce qui se passe autour de moi quand je fais quelque chose qui demande un effort intellectuel.
Par contre, il y a des gens dont la voix ne se laisse pas oublier, une voix sonore, qui s'insinue malgré vous dans vos tympans, ce qui est arrivé vendredi par exemple. Ce que je faisais ne demandais pas spécialement de la concentration, mais je n'arrivais pas à ne plus entendre cette personne. C'était assez pénible.
J'en viens enfin au sujet de ma note.
Nous passons en moyenne 7 à 8 heures par jour au travail ce qui représente dans une journée, un pourcentage respectable du temps. Nous y sommes pour fournir un travail, ce qui demande un certain effort, même s'il n'est pas physique. L'effort intellectuel est parfois plus fatiguant encore.
Or, la plupart du temps, rien n'est fait pour vous donner un minimum de confort dans ce lieu. Ni même le sentiment que vous avez un coin à vous, une sorte de mini annexe de votre chez vous. Quelque chose qui vous donne un sentiment de sécurité et de bien être.
C'est le cas dans ce lieu de travail. Des locaux trop petits, donc, où on est les uns sur les autres. Pas vraiment de postes de travail fixes pour chacun. Il faut jongler entre les présences, vu qu'il y a plus de personnes qui travaillent que de postes informatiques. J'ai de la chance car mon propre poste est fixe à cause des logiciels qui sont installés dessus et pas ailleurs. Mais je dois le partager avec mon collègue, si bien que lorsque je suis là, il ne peut pas travailler dessus et parfois, quand il en a besoin, je dois faire autre chose.
La "salle de réunion" est dans la même pièce. C'est juste une table un peu plus grande autour de laquelle on peut se mettre. Si bien que, comme en réunion, on parle, il suffit, comme vendredi, qu'il y ait une personne à la voix percutante pour que le reste des employés soient gênés.
Pour ce qui est du confort hors boulot, c'est pas l'idéal non plus. Pas de coin cuisine pour manger le midi. Juste un minuscule frigo dans un couloir, quelques couverts et tasses à côté du lavabo dans les WC (quelle hygiène !) et un canapé avachi dans l'entrée pour croquer son sandwich. Ça c'est dans le meilleur des cas. Dans le pire, quand la seule personne qui a les clefs ne souhaite pas rester le midi, elle met tout le monde à la porte et on se démerde pour trouver un banc dans un semblant de square rachitique pour manger. Le quartier n'a rien de passionnant en plus. Il est assez désagréable, pas du genre qu'on a envie de parcourir pour le plaisir entre midi et deux.
Je sais bien qu'on n'est pas au travail pour se mettre en pantoufles, mais il me semble que la rentabilité des employés serait plus élevée s'ils se sentaient mieux dans leur lieu de travail.
16:50 Publié dans Moi, ma vie, mais pas mon oeuvre | Lien permanent | Commentaires (6)
20/05/2009
Arvie youpi!
Donc il y a deux mois et demi, j'annonçais tristement la fin de cette eau qui accompagna mon amour presque du début à la fin.
Un visiteur inattendu (venu d'où?) laissa un commentaire que je vous livre et j'y ais répondu. Les voici.
Salut Gilles,
Je ne sais qui vous êtes. Quelqu'un du groupe Nestlé dont je crois que fait partie l'eau d'Arvie?
En tout cas, si réellement l'eau d'Arvie revient dans les rayons, soyez certain que je lui redeviendrais fidèle. Actuellement, je me suis mise au Vichy Célestin qui est celle qui se rapproche le plus de MON eau préférée, mais ça n'est quand même pas tout à fait ça.
Pour le conditionnement, j'avais il y a quelques années, lorsque la forme de la bouteille avait été changée, fait la remarque qu'elle avait tendance à basculer dans la porte d'un frigo, parce que sa base était trop étroite ou son haut trop large peut-être.
Bref, elle n'avait plus la même stabilité que les premières bouteilles qui avaient une forme plus effilée vers le haut. J'avais d'ailleurs contacté le groupe et on m'avait dit qu'on tiendrait compte de mes remarques si les bouteilles venaient à être redessinées.
Mais à la limite ça n'est pas grave. Qu'importe le flacon pourvu que je retrouve l'ivresse de reboire à nouveau de mon eau. ;)
Je tiens à signaler qu'il me reste encore deux bouteilles d'Arvie que je n'ai pas ouverte lorsque j'ai su que la production en était arrêtée. Je me suis dit que ces bouteilles là, pleines, non ouvertes, deviendraient historiques.
Si la production reprend, lorsque je ramènerais mon nouveau pack d'Arvie tout neuf chez moi, j'ouvrirais une de ces bouteilles pour fêter ça, comme on ouvre une bouteille de champ'.
UMA
Or, aujourd'hui faisant quelques courses, j'eu la curiosité de regarder si la bouteille bleue aux fines bulles n'était pas réapparue par miracle. Il y en avait 2 packs et quelques solitaires. Fin d'ancien stock ou nouvel arrivage? Je n'en sais rien, mais j'ai pris un des packs et comme promis, je vais ouvrir, pour fêter ça, une des deux bouteilles que j'avais conservé précieusement.
Sur la photo (clic pour voir en plus grand), devant les deux bouteilles qui me restaient, à l'arrière le pack que je viens d'acheter.
21:23 Publié dans Histoires/Extraordinaires/Ménagère/Plus/50/Ans | Lien permanent | Commentaires (2)
bonjour,
je pense pouvoir vous annoncer que dans quelques semaines vous allez pouvoir retrouver votre eau bien aimée .
aprés quelques mois de rupture de production serez vous toujours attiré par cette bouteille ?
son conditionnement vous convient elle ?
votre avis m'interesse
Sinceres salutations
Ecrit par : Gilles | 14.05.2009