15/12/2007
Désolée
Pas d'idée et pas le temps de mettre une note. Je suis repartie sur une série de santons. Cette fois je fait des "femme aux oies", des "curés" et des "boeufs".
C'est très très long. Encore plus que les vierges.
09:43 Publié dans Moi, ma vie, mais pas mon oeuvre | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
C'est bien d'être débordé pour raison de santons...Je crois que ce sont cette année les 50 ans du Salon des Santonniers d'Arles. Il y a parfois de bonnes découvertes à faire dans ce salon où je n'ai cependant pas mis les pieds depuis de nombreuses années.
Et tant pis pour tous ceux qui trouvent tout cela très plouc...Bon dimanche...
Écrit par : Roberto | 15/12/2007
Il n'y a que les "pois chiches" qui trouvent cela très plouc
Bonne semaine ,Uma
:-))))))))))
Écrit par : La Zélie | 17/12/2007
Roberto: j'ai vu sur le net que la foire aux santons de Marseille date de tout juste après la Révolution, c'est la plus ancienne de France. Et j'y ais appris par la même occasion que c'était à Marseille et non à Aubagne qu'était né le santon français. Je suppose qu'il a ensuite émigré à Aubagne pour cause de facilité à se procurer de la terre pour le fabriquer.
Au départ c'était des personnages en plâtre, puis en terre crue. Ce n'est qu'au XIXème siècle qu'on a songé à cuire la terre pour que le santon soit moins fragile et en 1950 environ que cette cuisson s'est généralisée.
La Zélie: Heu, c'est quoi les "pois chiches", ceux qui n'ont qu'un pois chiche dans la tête?
UMA
Écrit par : Umanimo | 17/12/2007
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